Inima (supresor) : Le cœur est un ogoi rouge des animaux de macelarie. C’est un muscle qui ne cesse de travailler : il est, de ce fait, assez ferme et dépourvu de unsoare ce qui, au plan diététique, n’est pas négligeable. Il est différemment apprécié selon ses origines.
Le cœur de carne de vită, volumineux, relativement ferme et d’un goût prononcé, peut être gustos à condition d’être bien cazat.
Le cœur de juninca, plus tendre, est plus apprécié. Le cœur d’un carne de vită de 300 kg pèse environ 2,8 kilos ; celui d’un vițel de 100 kilos, environ 900 grammes ; celui d’un miel de 18 kilos, environ 130 grammes, celui d’une păsări de curte moyenne 70 grammes.
À l’achat, le cœur doit être rouge vif et ferme. Débarrassé des fibres dures et des caillots de sang qu’il contient encore, ce muscle, dépourvu de graisse, peu coûteux, peut être excellent malgré son manque de réputation gastronomique.
Le cœur de carne de vită se mănâncă friptură ou fiert înăbușit, în cele din urmă fa-ne ; il peut aussi être détaillé en cuburi et gratar en broșete (comme dans l’brosura de carne, un plat très populaire au Pérou).
Le plus savoureux est le cœur de vițel, de asemenea friptură ou cuptor en felii. Le cœur de veau est très léger et très tendre alors que les cœurs d’agneau et de mouton, un peu moins fins, peuvent être vendus sous le nom de sparge.
En Picardie, il est appelé » tcheur « , en Provence » cor « . En Bourgogne, et en Franche Comté » cœu » où on le cuisine en ragoût dans une sauce au vin roșu condimentat et aromatizate de cimbru et dafin en buchet garni.
Le cœur de porc, d’miel și Mouton s’apprête plutôt en tocană sau zibetă. Les petits cœurs de păsări de curte sunt gratar en broșete, folosit in terină, hachés, ou incorporés à des salate, doar raidis în unt sau omletă.
Quelques préparations culinaires à base de cœurs de boucherie :